Les saints du calendrier et les dictons

St-André Apôtre

Originaire de Bethsaide, en Galilée, André est le frère de Simon-Pierre ; il exerce la profession de pêcheur sur le lac de Tibériade. Disciple de Saint-Jean le Baptiste, il devient ensuite l’un des premiers à s’attacher à Jésus, quittant son travail et sa famille pour le suivre. Puis il parcourt plusieurs régions d’Asie Mineure pour prêcher l’Évangile (selon certaines traditions, il serait même allé jusqu’en Russie). Il serait mort en martyr sur une croix qui porte désormais son nom "La croix de Saint-André" (Ier siècle) Saint-André est le patron des marins-pêcheurs, des mareyeurs, des poissonniers, des femmes et jeunes filles célibataires, des chanteurs, des forces armées et de plusieurs paroisses, villes et pays en Europe et en Amérique.
Source de l’image : collection personnelle

St-Castule

Martyr romain

St-Frédéric

(Bienheureux) Fils d’une famille modeste de Ratisbonne, en Bavière (Allemagne), il apprend le métier de charpentier et devient frère lai chez les moines Augustiniens.

St-Josbert (Joscio)

(Bienheureux) Moine bénédictin au monastère Saint-Bertin d’Arras (+ 1186) Selon une légende, un rosier aurait poussé sur son cadavre, qui produisait des fleurs dont les pétales portaient l’inscription "Marie".

St-Trojan

Fils d’un couple mixte (son père est juif et sa mère d’origine arabe) installé à Saintes (Charente-Maritime). Confié aux soins de l’évêque Saint-Vivien, qui se charge de son instruction et le nomme diacre puis l’admet à la cléricature. Lorsque Saint-Vivien décède, Trojan est choisi pour lui succéder. Très aimé de ses fidèles, il fait l’objet d’un véritable culte de son vivant. Après son décès, il est enterré auprès de Saint-Vivien, son prédécesseur, et de nombreuses guérisons miraculeuses sont rapportées sur son tombeau (+ 532)

St-Tugdual (Tudwal)

Fils d’un prince breton exilé au Pays de Galles, il est éduqué par Saint-Ildut. Après le décès de son père, il revient en Armorique avec sa mère et sa sœur, puis fonde un premier monastère à Lan-Pabu (Finistère). Il se consacre ensuite à l’évangélisation de la région, fonde plusieurs autres monastères et se rend jusqu’à Tréguier, où il s’installe et est nommé évêque (+ vers 564)

St-Zosime

Originaire de Phénicie, il devient moine anachorète en Palestine et possède le don de prédire l’avenir (VIe siècle)